Le chômage du véhicule... partie II
Dans cette seconde partie sur le chômage du véhicule, l'article aborde l'évaluation du préjudice lié à l'immobilisation d'un véhicule. Il souligne l'importance de privilégier une réparation en nature, permettant à la victime de louer un véhicule de remplacement. La jurisprudence exige que la victime prouve la nécessité de cette location, notamment pour des raisons professionnelles ou d'accès limité aux transports en commun. En l'absence de location, l'indemnisation se fait sur base forfaitaire, généralement fixée à 20 €, un montant jugé obsolète et nécessitant une revalorisation à 30 €.